Accueil » Politique et enjeux » Éditoriaux » Syndicalisme: d’abusés à abuseurs!

Syndicalisme: d’abusés à abuseurs!

D’entré de jeu, je l’affirme : les syndicats, j’en ai marre! Oui, dans certains cas bien précis, ils ont probablement un rôle important à jouer. Mais, dans la plupart des cas, il m’apparait évident qu’ils ne sont là que pour protéger le cul des lâches, des paresseux et des incompétents!

Puis, lorsque les centrales syndicales se permettent d’imposer des directions politiques à leurs membres, ça en est trop! Ils dénaturent alors leur rôle de protecteur du plus petit pour se transformer en simples lobbyistes souhaitant bonifier leur poid politique et leurs investissements. Puisque, admettons-le, les centrales syndicales ne sont plus des organismes protecteurs, mais bien des entreprises qui carburent aux cotisations sans mesurer les impacts négatifs de leurs entêtements sur l’économie nationale.

Les centrales syndicales coûtent une fortune! D’abord, elles pigent sur chacunes des paies de leurs membres. Puis, elles s’assurent de gratter chaque centime qu’elles peuvent extirper aux employeurs. Elles mettent des bâtons dans les roues des entreprises où elles se sont immiscer en plus de générer un flot important en paperasses et procédures de toutes sortes pour soutenir leurs plaintes et contestations. Puis, au bout du compte, les seuls employés qui profitent vraiment des largesses syndicales sont dont les seules initiatives sont celles leur permettant de moins travailler. Est-ce réellement là les fondements du syndicalisme?

Syndiqués, ne soyez pas surpris de vous retrouver sans travail, demain. À l’ère de la mondialisation et des économies de masse, il est plus simple et plus rentable de déménager les manufactures et les centres d’appels vers d’autres continents où la main d’oeuvre est abordable et ne cause pas tant de tracas. Et, à ce moment, n’osez pas critiquer la morale de ces entreprises. Puisqu’elles réagiront plutôt à l’immoralité de vos chers syndicats dont les actions frôlent parfois le terrorisme.

Un peu plus :

– Jos –


D'entré de jeu, je l'affirme : les syndicats, j'en ai marre!
Partager cette trouvaille!Partager!Envoyer par courrielEnvoyer!
Moyenne de 1 sur 1 votes

17 réflexions au sujet de “Syndicalisme: d’abusés à abuseurs!”

  1. Il faut faire attention lorsqu’on parle de syndicat.. C’est vrai que ces temps-ci il commence a charrier pas mal mais ils ont tellement fait pour le peuple québécois. Ils ne font pas oublier que l’Amérique nous considérait il y a à peine 50 ans comme du vulgaire «Cheap Labor».

    Je trouve que dans certains cas le syndicat des fonctions publiques charrit pas mal. Quand je vois les revendications des caissiers de la SAQ, je me dis que j’ai pas fait le bon métier. Que les syndicats leur donne des bonnes conditions c’est parfait… Mais la c’est rendu que n’importe qui qui travaille pour le gouvernement fait 2 fois le salaire de quelqu’un qui a fait un bach et qui travaille dans le privé.

    Par contre, il y a tous les syndicats des travailleurs des régions du Québec… Tous ces québécois qui travaillent à l’exploitation de nos ressources naturelles et qui se font assurer d’excellent salaire par leur syndicat. Je ne trouve pas qu’ils abusent! C’est un peu notre façon de redonner l’argent de nos richesses à nos concitoyens et même si ce n’est pas moi qui touche la magot nécessairement, je suis très content que l’argent se retrouve dans les poches de quelqu’un d’ici et qu’on en enlève un peu au Big Boss dans son bureau qui fait de l’argent trop facilement avec nos richesses.

    – Matt

    Répondre
  2. Jos, j’aurais pas mieux dit.

    Il est clair que l’avènement des syndicats à été une très bonne chose.
    Mais de nos jours, le seul rôle qu’ils ont encore, c’est celui de faire de l’argent et de gagner en puissance mais plus pour leur membres, seulement pour leur dirigeant propre.

    Je travailles moi même dans une société syndiquée (hélas). Au bout de deux jours, j’avais le syndicat sur le dos. « Faut payer ta carte » Pour 5 piastre, j’ai trop rien dit, sauf que je ne voulais plus en entendre parler.
    Le gus en empochant mon billet à osé me dire que j’étais « En règle avec le syndicat ».
    J’ai failli y sauter dessus pour reprendre mon billet…

    Quatre jours plus tard, j’ai reçu la convention collective… Un grand moment.
    Le syndicat ponctionne ma paye allègrement, mais il est bien stipulé que tant que je ne suis pas employé permanent, le syndicat ne fera rien pour moi. Bande de voleurs !!!
    De même, le syndicat peut demander à l’employer de virer un employé qui ne prendrait pas « sa » carte syndicale.
    Le nom de ce syndicat commence par C et S, mais il est clair que le D c’est pour Dictatoriale.
    Vivement l’année prochaine tient.

    Le partage des richesses ? Mais tout à fait. Le travaille est une richesse, mais il se partage très mal. C’est toujours les mêmes qui bossent. Théoriquement, ça devrait être les même qui réussissent. Et bien non, il est plus avantageux de ne pas travailler, ou de travailler le moins possible. Merci le partage des richesses.

    Répondre
  3. Matt, pour ce qui est de l’exploitation des ressources naturelles, je ne me risquerai pas à parler à travers mon chapeau, puisque je n’en connais trop rien. La seule chose que je sais à ce propos, c’est que les albertains reçoivent un beau chèque à chaque année provenant des profits de leurs ressources naturelles. Mais ça, c’est un tout autre débat!

    Pour ce qui est des syndicats, dans les milieux publiques et para-publiques, je crois que le terme abus n’est même pas approprié. Mais je n’en connais pas de plus grave! Ils ont d’abord un salaire très avantageux comparativement au secteur privé! En plus, ils commencent avec 4 semaines de vacances par année, le double de ce que nous retrouvons dans les normes du travail. À celà, ajoutons 2 semaines de journées maladies accumulables et un fond de pension très avantageux. Puis, ensuite, ils osent faire la grève et en réclamer plus…

    Mais si ce n’était que ça! Il y a 50 ans, nous étions peut-être considérés comme du « cheap labor », mais tout le monde travaillait. Les conditions étaient horribles et c’est bien que les syndicats aient participé à rétablir les choses. Par contre, il ne faut pas renverser la vapeur, non plus! Au rythme actuel, le monde manufacturier québécois n’existera tout simplement plus dans quelques années! C’est sûr qu’une ville ou 1000 personnes travaillent à 25$/h, c’est intéressant. Mais, pour ma part, j’aime tout de même mieux une ville où 1000 personnes travaillent à 15$/h qu’une ville où 1000 personnes sont sur le chômage.

    Pourtant, les syndicats ne sont prêts à aucune concession. Il n’y a pas une semaine où une usine ne ferme pas au Québec. La semaine dernière, c’était Guildan à Vellyfield, l’autre d’avant c’était Louisiana Pacifique à St-Michel-des-Saints. Ce sont des régions entières qui sont actuellement sur le respirateur artificiel alors que les syndicats, du haut de leurs tours dorées du centre-ville de Montréal, s’amusent à tirer tranquillement sur le fil d’alimentation!

    Il est grand temps qu’un syndicaliste dirige à nouveau les syndicats, plutôt que d’y voir de simples et arrogants opportunistes.

    – Jos –

    Répondre
  4. Moi j’aime bien les syndicats, quand je travaillais dans une épicerie j’ai cassé un tas de trucs qui n’ont jamais été soustraits de ma paye, j’ai aussi fait un tas de gaffes. Ils me garantissent des conditions de travail humaines (nombre d’heures + horaires) et un tas d’autres choses qui m’ont bel et bien servies. SYNDICAT : JE T’AIME pis en passant Jos, quand tu dis que dans les années 50 les syndicats ont « participés » à rétablir les choses, tu veux dire qu’ils ont participé à rétablir les choses avec qui? corrige moi si je me fourvoie mais je crois que tu voulais dire: « ils ont rétabli »

    Répondre
  5. Phil,

    Les gouvernements y ont aussi mis du leur. Puis, certains employeurs.

    Pour ce qui est des épiceries, j’y ai aussi travaillé lors de mes études. Il est vrai que je n’avais que peu d’heures à offrir, mais ils se sont empressés de me congédié tout juste avant que je devienne couvert pas le syndicat. Ce qui semblait d’ailleurs être une pratique très courante dans cette épicerie. Wow, belle protection :S

    Et même là, je ne crois pas que ce soit le syndicat qui empêchait l’employeur de te faire rembourser tes gaffes. Dis-toi plutôt que si tu n’avais pas été syndiqué, tu aurais eu plus d’argent dans tes poches!

    – Jos –

    Répondre
  6. Parlons maintenant de l’autre partie qui négocie une convention collective: l’employeur. Tu sais Jos, il faut être deux pour négocier. Ces conditions ont été NÉGOCIÉES à deux et approuvées à deux: employeur et syndicat. Je suis directeur d’un syndicat dans le milieu de la santé (professionnel et technicien) et je me dois de faire une distiction. Il y a les syndicats dits « industriels » ou l’on syndique tous les métiers:épicerie, usines etc. et les syndicats professionnels: physiothérapeutes, laboratoire etc..
    Les deux types pratiquent un type de syndicalisme très différents. L’un plus revendicateur et l’autre démontre plus d’ouverture à résoudre les conflits par la voie de la discussion. Je persiste à croire que le syndicailsme est ESSENTIEL car je vois à tous les jours des gens qui se font offrir du travail à cause de leur poitrine ou de leurs yeux bleus. C’Est inadmissible en 2006, mais ca existe ! Je t’assure que le syndalisme professionnel ne protège pas les incompétents car c’est très facile pour un employeur de monter un dossier contre une salariée, le prouver et le tour est joué. Que peux dire un syndicat ou un arbitre s’il est prouvé que la salariée est incompétente ? Rien. Je t’avoue que je serais très gêner de défendre l’incompétence. L’employeur a aussi un devoir, mais il faillit très souvent. Par la suite, c’est beaucoup plus facile de déblatérer sur les syndicat que de monter rigoureusement un dossier pour congédier quelqu’un. Voilà !Je vous invite à vous informer davantage sur le syndicalisme et d’éviter de tomber dans le piege des gouroux comme Stéphane Gendron , Gilles Proulx ou André Arthur qui disent ce genre de généralités afin d’abrutir davantage leur auditoire. Si les syndiqués sont si bien, pourquoi il y a une pénurie dans toutes les professions dans le domaine de la santé ? Venez vous syndiquer !

    Répondre
  7. Les syndicats n’auraient pas leur raison d’être si l’état n’était pas géré par le commerce.
    L’avenement des syndicats montre bien que la classe politique n’est pas la pour représenter les citoyens de leur comté, mais pour assuré la sécurité ou la croissance financière de certaines entreprise. C’est pourquoi le peuple a du se donner une autre voix; les syndicats.
    C’est vrai que c’est insensé de se doté d’un syndicats qui te piquent ton cash pendant qu’on élu des représentant a chaque 4 ans. Eux aussi, on les paie!
    Insensé? les syndicats? Les syndicats sont nés naturellement d’un manque « d’humanisme » du libéralisme…Ce qui nait avec le temps doit nécéssairement répondre a un besoin direct.

    donc, quel est le problème des syndicats? Probablement l’orgueil. Hein! L’orgueil de ses membres! C’est ça qui parasite aussi notre classe politique. Et c’est ça qui régit l’économie.

    C’est pas les syndicats qui sont de trop, c’est la droite.
    En pays de gauche, ce serait le syndicat qui agirait comme gouvernement.

    Répondre
  8. Hiiiiiirrrsssshhhhh !!!!!

    Je vais tenter de faire ça vite…

    -je suis d’accord que certains syndicats exagèrent et ne se mêlent pas toujours de ce qui les regarde.

    -je ne suis pas d’accord avec le fait que nous allons perdre nos emplois. Je pense plutôt que nous allons les perdre si nous ne nous battons pas pour les sauvegarder !!!!

    -Comme quelqu’un l’a mentionné, nous semblons oublier qu’il n’y a pas si longtemps, les employés étaient sous-payés… Ça ne fait pas trois siècles de ça !!!!

    -Je n’ai pas la statistique exacte mais au cours des 30 dernières années, le salaire des employés à peut-être augmenté 15 ou 20% alors que celui des dirigeants à fait un bond de plus de 200% SVP !!!!
    Il est là le cash CIBOIRE !!!!! En plus des stocks options… ON DONNE DES PRIMES DE DÉPART À DES DIRIGEANTS INCOMPÉTANTS !!!! 10 ou 15 millions !!! PFFFFF !!!!

    Avant de me le faire dire, OUI JE SUIS SYNDIQUÉ,oui j’ai un très bon salaire, mais je sais pertinemment que si je n’avais pas de syndicat, je devrais 4 fois plus de travail !! Et n’allez pas me dire que je me pogne le cul SVP !!!

    J’ai vu des patrons magouiller en-dessous de la table, enfreindre la convention collective (qui est une entente entre les deux parties…) et s’en mettre plein les poches !!!

    Quand on abuse de moi et qu’on me crache au visage: « Ben fais un grief si t’es pas content !! » Je le trouve INDISPENSABLE mon syndicat !!!

    Et comme je le dis toujours:

    « Au Québec le problème, c’est qu’on ne peut faire d’argent car tous les gens vont faire tout leur possible pour te faire tomber. Je crois que ceux qui sont dans une « bonne posture » devraient tendre la main à ceux qui sont dans le besoin…

    Et c’est ce que je m’efforce de faire tous les jours de ma vie !!!

    Syndicat ou pas, dis-moi (toi, blog du Québec) quand est-ce que nous allons-nous nous donner la main pour le faire ce pays ???!!!

    Arrêtons de nous faire des jambettes !!!

    Merci de respecter ce commentaire qui ne fait qu’exprimer les frustrations que je vis.

    Solidarité,

    Num.

    Répondre
  9. As-tu vu le film : Le peuple VS le peuple dans « Qui ramassera la dernière miette de pain échappé par le bourgeois »

    Syndiqué dans le coin gauche VS non-syndiqué dans le coin droit, le patronat met un bout de fromage entre les deux et sonne la cloche.

    Tuons-nous donc tous, ça va être fait.

    Si tu regardes un peu l’histoire des syndicats, il y a des bouts rough en maudit, des faillites, des policiers qui tire dans le tas, des bureaux saccagés, des ouvriers en civières, des familles à la rue, des pactes avec des organisations criminelles (que veux-tu faire contre des policiers qui te tirent dessus!!!) et j’en passe.

    Le plus grand problème des syndicats, je dois être franc avec toi, est l’embourgeoisement de ses valeurs. Revenons à la base, crisse!

    Pourquoi il n’y a que les syndicats qui tentent d’offrir à tous le pouvoir de revendiquer efficacement? L’État s’en câlicerait-il par hasard?

    Bâtard, pourquoi tout le monde considère les syndicats comme étant hyper puissant, lâchez-moi avec votre ville de Montréal! Il y a des millions de petits syndiqués humbles qui rushent pour faire vivre leurs familles dans des conditions décentes!

    Sans syndicat, le patron serait plus généreux? oui, et j’ai un cul à deux ouvertures aussi.

    J’ai tellement hâte de manger mon bol de riz quotidien! Avez-vous vu une maison de Chinois? Avez-vous hâte d’avoir son niveau de vie?

    N’oublions jamais que les syndicats sont des organisations qui défendent uniquement les INTÉRÊTS DES TRAVAILLEURS. Si le mouvement dévie vers le lobbying et la politique de nos jours, il ne faut pas cracher dessus, mais bien tenter de le réenligner dans la bonne voie. L’an 2000, c’est pas les sixties.

    Combien de syndiqués morts ça prend pour faire voter une loi anti-scab? Plusieurs.

    Pourquoi jamais personne se pose la question suivante : « Pourquoi le capitalisme marche SI BIEN dans un pays communiste comme la Chine? » …

    Bien à vous!

    -Louis

    Répondre
  10. J’aimerais juste corriger une petite phrase:
    « Les syndicats n’auraient pas leur raison d’être si l’état n’était pas géré par le commerce. »

    Elle est à l’envers cette phrase. Voici la bonne tournure:
    « Les syndicats n’auraient pas leur raison d’être si le commerce n’était pas géré par l’état. »

    Répondre
  11. SafeGuard, je ne suis pas convaincu.

    À mon sens, les politicens sont pas mal plus influencés dans leurs décisions par les entreprises, que les entreprises ne le sont par les politiciens. Corruption? Oui, peut-être. Mais, au bout du compte, c’est bien là le principal fonctionnement du capitalisme : barbare et sanguinaire!

    – Jos –

    Répondre
  12. Les syndicats, ils ne sont que des profiteurs et des abuseurs. D’accord il y a plusieurs années ils protégaient les employés mais aujourd’hui, la seule cause pour laquelle ils font des rassemblements monstres est de faire augmenter votre salaire qui par le fait même, augmente la cotisation que vous versez dans leurs poches. Par contre, si vous êtes victime d’une maladie professionnelle, accident de travail, abus de pouvoir et ou harcèlement, ne comptez pas sur eux pour vous défendre, ils vous motiveront sous prétexte que votre requête est difficile à prouver, que vos chances de gain de cause sont minces et, le pire… vous diront: vous savez Mr ou Mme que votre employeur est beaucoup plus fort que vous. Ça, c’est vraiment dégueulasse de la part d’un syndicat. Voilà mon idiot(e) tu te démerde seul(e), tu nous paies et nous on s’assoie sur nos lauriers VIVE LES SYNDICATS! On est vraiment imbécile de continuer à les payer, ce sont des voleurs

    Répondre
  13. Pour commencer, je veux affirmer que je ne fait pasparti de la direction d’un eentreprise et je ne l’ai jamais été. Je ne suis pas non plus syndiquée, ce qui fait que mon opinion est objectif.

    Syndiqués, soyez franc avec vous mêmes. Qui a vraiment besoin de protection syndicales de nos jours?

    Il y a plusieurs compagnie de nos jours qui ne sont pas syndiqués et qui n’ont pas l’intention de l’être, je pense par exemple à l’usine Allouette de Sep-Îles. Si tu fais ton travail, que tu travaille les heures qui te sont payés, que l’entreprise qui t’engage te donne de bons avantages, si tu n’as rien à te reprocher, a quoi sert le syndicat?

    À mon avis, il ne sert qu’a protéger toutes les pommes pourries des entreprises à tuer l’ambition des jeunes qui commencent sur le marché du travail. J’ai travaillé comme étudiante dans plusieurs milieux syndiqués et il ne fallait surtout pas travailler trop vite, pour ne pas exposer la paresse de certains, il fallait même se cacher lorsque notre tâche était terminée pour ne pas risqué d’en avoir une autre, tout cela avec la pression des charmants syndiqués. Ça fait des journée longues, pas mal longues.

    Quand les conditions de travail sont négociés aujourd’hui, on ne peut pas dire qu’il y a des améliorations à se rouler par terre, comme s’était le cas dans le passé. Il s’y règle surtout tous les petits crocheries des pommes pourries que le syndicats doit à tout pris protéger, les bons travailleurs n’y gagnent pas grand chose au change.

    J’ai travaillé ensuite dans des entreprises non-syndiquées, j’ai travaillé à mon goût, je n’ai pas été exploitée et j’ai même eu des augmentations annuelles qui auraient fait rougir d’envie les syndiqués (en plus, je ne suis pas blonde et je n’ai même pas de gros seins, pour répondre au commentaire de certains).

    Concernant la distribution de la richesse, à ce que je sache, tout le monde reçoit un salaire, parfois de primes, certaines compagnie paient même toutes les assurances et le fond de pension. Pourquoi la compagnie doit-elle partager davantage? Vous oubliez que le but premier d’une entreprise est de faire du profit, ce n’est pas un organisme de charité. Les profit servent à enrichir les investisseurs et les actionnaires, qui sont, il faut ce le rappeler, monsieur tout le monde qui a de l’argent à la bourse et qui veut que la valeur de ces actions montent et non l’inverse. Les méchants investisseurs étrangers sont là parce que il n’y a pas d’investisseurs locaux qui veut s’engager la-dedans. Si vous voulez avoir une plus grande part de la richesse, il faut tout simplement investir, prendre les mêmes risques que les autres investisseurs. Plus on en demande, moins l’investissemsnt est rentable, les actionnaires (les monsieurs tout le monde) grognent et les compagnies déménagent pour que ça leur coûte moins cher…

    J’en aurais sûrement encore plus à dire mais je m’arrête là.

    Lou

    Répondre
  14. Ah ben si, quand même.
    Sur le coup, j’ai cru que j’étais gravement malade. Mais non, il y en a d’autres à avoir les mêmes points de vue que moi.

    Bon, depuis la dernière fois, j’ai une deuxième job.
    Et pas de syndicat. Et ben c’est le jour et la nuit.

    Et en l’espace de six mois, j’ai plus avancé en étant pas syndiqué. Alors d’ici à la fin de l’année, je lâche le premier boulot et je me lance à fond dans le deuxième.

    Les syndicats ont eu leur raison d’être. Mais aujourd’hui, ce sont des cancers.

    Répondre
  15. Quand j’etais etudiant, je travaillais dans une usine de transformation de bois en Abitibi. J’etais manoeuvre, en fait je ramassais la marde dans l’usine toutes les jobs que les syndiqué, qui avais même pas un secondaire 5 et qui etais payer 25$ de l’heure, voulais pas faire. Au bout d’un mois le syndicats a commencé à approcher les etudiants pour qu’on paye une cotisation syndical. Ils nous prennaient pour des imbeciles, ont savais bien que même si on avais eu un problème jamais le syndicat nous aurais aider, ils voulaient plus de cash pour leur membre!

    Maintenat un commentaire pour Le Numerologue, j’en ais plein mon casse des gens atteints de la maladie du pauvre petit quebecois. C’est à dire: Le boss fais plus de cash que moi , alors je fais le faire cracher. Si le boss fais plus de cash que toi c’est qu,il prend plus de risque que toi, c’est qu’il a plus de competence que toi il n’est pas arrivé la du jour au lendemain.
    Pourquoi les joueurs de hockey professionel font des millions par année…parcequ’ils sont des exceptions. Facque arrête de vouloir le bien d’autruis et travail pour te gagner le tiens.

    Les Syndicats ont eu leurs raison d’être mais aujourd’hui c’est finis et je suis heureux de voir que certains syndiquer(les plus travaillant)le realise aujourd’hui, ils acceptent des baisses de salaire pour sauvegarder leurs emplois. Mieux vaut une baisse de salaire que d,être sur le chomage parceque la compagnie est demenagé en inde ou au mexique.

    À mort le syndicats place aux gens qui sont fier de merité leur salaire pour leur bon travail.

    Répondre
  16. 08/06/08

    Je suis un syndiquer depuis plus de vingt ans et ils ne faut pas resté surpris de la baisse du syndicaliste au Québec se sont de petit polititien en herbe , libéré parfois à temps plein ou partiel, donc acheter par l`employeur.
    Je connais des problèmes de santé depuis 2005 et l`employeur fais tous en sont pouvoir pour m`éliminer et avec l`accord du syndicat.Harcellement, atteinte à la réputation et souvent les témoins sont les têtes dirigantes du syndicat comme si rien ne se passais. Ils fauts toujours les menacés afin de déposer un grief et encore ils ont le bénifice du doute par la CRT, présentement j`ai pris un avocat et j`ai déjà $3000.00 d`investis pour faire suivre mon dossier, je songe à rendre public mon histoire de 2005 et je crois que cela pourrais être utile pour d`autre personne qui vive la même chose que moi dans le silence.

    Je suis d`accord avec vous, les syndicats,on des intérêts personnels,tu ne peux pas investir dans les compagnies et défendre tes membres à la fois
    à moins que tu sois un grand ami du parti.

    Répondre

On veut votre avis sur ce contenu québécois