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La première première dame du PQ

La simili-course à la succession du fulminant Boisclair est une réussite. Pour une fois depuis 15 ans, on peut conclure que le Parti a bien fait les choses. La population en est sorti avec l’impression que chaque pion se retrouve au bon endroit. Chaque membre de l’équipe travaillent maintenant là où il est le plus efficace, le plus utile. Pardonnez-moi l’analogie d’inspiration néo-libérale, mais c’est la manière de penser que l’on m’a enseigné ; j’y vois le PQ comme une entreprise en reconstruction : même s’il était compétitif, a désespéremment besoin de revoir sa mise en marché du produit, redorant l’étiquette pour atteindre autrement l’électorat. Modifiant aussi ses actifs pour augmenter son capital et, du coup, l’efficacité de son action.

L’analogie s’arrête-là, car le projet qui nous réunis ne vise pas le profit comme l’entreprise. La cause coulant des mots que j’écris aujourd’hui, se veut bénéfique sur le plan humain pour tout ceux qui souhaitent vivre, non survivre.

L’intro terminé. Elle a été a mon image je crois; comparant des tomates avec des oranges en prétextant que les deux aliments ont la même forme sans nier l’évidence de leur différence : le goût. Qu’une image.

Avec le recul, je crois que si on oublie la journée où Duceppe a été écorché quelque peu, la masse a vu que les hautes sphères se sont parlés, et elles ont bien agit. Continuons avec la métaphore, le PQ et le Bloc se sont comportés comme deux personnes responsables qui reconnaisse avoir une vision d’un bleu différent, mais qui se sont rejoint sur le fait primordial que leur objectif est le même. Ils ont alors convenu d’éviter un conflit publique qui n’aurait pas seulement ternis l’image des souverainistes et concrètement repoussé dans le temps l’avènement de notre souveraineté.
Alors maintenant, tout va pour le mieux. Marois reprendra les votes que Dumont nous a «emprunté ». Pour les amateurs de Duceppe, ne soyez pas inquiet, pour moi, il demeure le #1 de la souveraineté. Son saut vers le Parti Québécois se fera tout-de-même. C’est juste remis à plus tard. Il arrivera avec plus d’aplomb. Ce sera SA décision à lui, et non un concours de circonstance. Il continuera, à sa façon le travail de Marois. Elle est gonflé a bloc.

Croyez-moi. Depuis l’annonce du retour de Pauline, le Tank, Jean Charest fait ses devoirs ! Puis Dumont cherche un moyen de faire parler de lui. Comme vous le savez, ce qui tenait le gouvernement Charestiste et minoritaire au pouvoir, c’était la faiblesse d’un PQ qui cherche à gagner du temps. Ça laissait Charest contre Dumont.
Maintenant, on est plus prêt que n’importe qui pour la guerre ! Alors c’est Charest qui cherchera a gagné du temps, se faisait aussi inactif que possible, espérant que Marois l’oublie dans ses discours, parcequ’il faut l’admettre, les paroles de Marois tombent sur le Québec aujourd’hui comme des versets de la sainte évangile. Elle est « loadé de crédibilité », alors c’est pourquoi j’en déduis que Charest essayera de se mettre à l’abri de l’orage que représente la rafraîchissante arrivé de Capitaine Marois.
Alors, après que l’on ai cru le PQ amoché par le MARIO DAY de la dernière élection, après les grosses manchettes qui nous incitait a croire que le PQ était branché sur le respirateur artificiel en train d’agoniser. On nous disait presque que la seule chose a faire était prier. Alors, aujourd’hui, on comprend bien que ça n’était que de la mauvaise presse. Celle qui parle aux noms d’interêts privés, qu’en est-il aujourd’hui des allégations annoncant la fin du projet souverainiste ? Qu’en est-il vraiment ? Rien. Et qu’en reste-il ? Rien aussi. C’est une petite flèche lancé pour en rajouter sur le fait que nul ne tuera notre idée, même pas Boisclair, même pas deux ou trois petit cons d’analystes répondant directement de Pélado, ou de Desmarais.
Le PQ qui doit revoir sa façon de faire, de bardasser ses chefs, toutes ses idioties que l’on a entendu sont maintenant disparus.
Boisclair a été victime là-dedans. Comme Claude Ryan a été persécuté par son Parti autrefois. Il ne faisait pas la job, simplement. Mais les deux hommes ont été remercier de leur service sans que l’on puisse les accusés officiellement d’un manquement ou d’un autre. On peut pas faire une liste de leurs erreurs? Comme Ryan, Boisclair a été la victime des grandes attentes de ses militants vis-à-vis leur manque de visibilité occasionné par un nouveau joujou pour la presse. En faite, Boisclair n’a pas su personnifier la souveraineté sous les circonstances qu’on lui a imposé. Il n’a pas joué de la bonne façon les cartes qu’on lui a donné. Ça ne fait pas de lui un mauvais joueur de carte. Il n’était pas le gars qui nous fallait pour ce qu’il nous fallait. Comme Sheldon Souray est utile contre les gros attaquants comme Bertuzzi, mais prend la forme d’un pied de céleri quand opposé à Crosby.

En espérant que le message est clair et limpide maintenant : la souveraineté ne se videra jamais de son sang devant nous tant que nous, militants, lui donneront un sens.

-Vincent Belisle



Un texte sur le couronnement de Pauline Marois à la tête du Parti Québécois
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21 réflexions au sujet de “La première première dame du PQ”

  1. Je trouve ça vraiment injuste ce qui est arrivé à Boisclair, mais je sais bien que c’est de l’histoire ancienne. Vive la nouvelle reine du Québec. J’espère seulement qu’elle saura réussir là où tous les autres ont échoués et qu’elle ne fera pas d’elle l’incarnation féminine de Lucien Bouchard.

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  2. Yess Bélisle!!
    Tu as bien raison… personnellement je suis contente de revoir Pauline pcq Boisclair nous a fait baisser pas mal !!

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  3. Yes Kass la Barak! Tu rock petite soeur..

    Moi je m’en vais à Toronto pour le SES Toronto, voir des conférences sur le Social Marketing,

    Je vais essayer de vous donner des nouvelles.

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  4. L’effet Pauline aura duré 2 semaines. Il y a toujours un engouement lorsqu’il y a un nouveau chef de parti et après les intentions de votes baissent. Les derniers sondages nous ont démontré que tous les partis pouvaient être en première place si on considère une marge d’erreur de 4%.

    Ceci étant dit, je considère que Pauline Marois est la personne la plus compétente pour diriger le PQ. D’ailleurs, ils auraient dû la choisir en 2005. De plus, puisqu’il n’y a pas d’élection cet été, le PQ pourra entreprendre son travail de reconstruction plutôt que de sombrer dans le déni comme il a l’habitude de faire.

    Pour ce qui est de Duceppe, il a perdu sa dernière chance. En restant dans un parti de deuxième ordre, il nous a démontré qu’il était un joueur des mineurs qui doit sa popularité aux scandales des commandites.

    En passant Vincent, tu n’as pas à t’excuser pour faire des analogies libérales. À ce que je saches, ton héro, René Lévesque, était libéral. La seule chose qui lui a fait quitter le parti est le refus de son projet de souveraineté-association lors du congrès d’octobre 1967. Les libéraux ont préféré le projet de «statut particulier» de Paul Gérin-Lajoie.

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  5. Salut Bélisle. Personnellement, je crois que tu as raison pour ce qui est de Duceppe. Cependant, ne mets pas de côté ce que Marois a derrière la tête : Le pouvoir. Elle fera n’importe quoi pour y arriver. N’importe quoi, ça veut dire mettre de côté la souveraineté. Ça veut dire faire des compromis important pour se sauver les fesses. Ça veut aussi dire mettre des batons dans les roues de Duceppe. Elle c’est fait dire non 2 fois. 2 fois on lui a dit : Eille Pauline, tasse toé! Et maintenant, vous êtes entrain de me dire que Pauline est là parce que c’est « à son tour » ?
    Je crois que quand Boisclair a été élu au premier tour, ça voulais tout dire. Le PQ avait besoin de changement. Maintenant, on ramène Mam Marois. Je me rappel encore ça sorti le jour MÊME ou Landry démissionne. Ça ma beaucoup affecté. Je découvrais cétait quoi la vrai politique, c’était le coup de couteau inutile lorsque ton adversaire est au tapis. Un coup qui n’achève pas, mais qui fais vraiment mal.

    La souveraineté au PQ je commence à y croire de moins en moins. Cependant, Que penses-tu de la souveraineté avec Mario Bros ? Tu as vu, il est parti de rien et il forme une force de frappe étonnante. Il me fait penser à un mek qui a une pendule et qui hypnotise le monde : Le gouvernement c’est dla marde, voter pour moi et ma la brassé! Il va ben dire, comme en 95, le Canada c’est dla marde, votez OUI. Par contre, ce parti sens mauvais, mais il est dirigé par kkun qui a coché OUI en 95. C’est un parti d’un seul chef. C’est ce qui faudrait au PQ. Je dirais même qu’au Parti Libéral c’est mieu. Même si Charest est pas fort, personne le pousse en dehors. Si ça la a arrivé, ça sera pas devant les médias. Au PQ, ça manque de politicly correct. N’oubliez pas que la souveraineté va se faire avec les indécis, et non pas avec ceux qui sont sur à 100% de votez OUI. C’est le 20% de monde qui save pas, qui s’en calis. Dite leur ce qui veule entendre, et vous les aurez. C’est ce que Chrétien a fait en 95. Il a utilisé la peur, l’argent. « Votre passeport marchera plus ». « On reconnait pas la question »…

    Le Crosby du PQ n’est pas encore arrivé. J’ai l’impression que le PQ est quand Koivu est blessé, Souray tombe « C ». Le mérite-t-il ?

    Francis

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  6. Matt… as tu mis social et marketing dans la même expression??

    Et puis le bon vieux vallé. J’suis content de voir de té nouvelle, mais de croire Duceppe pour battu, passé date, s’est preuve que tes opinions valent celle de tout les petits votants. S’il avait peur que son heure ne revienne pas au PQ, Duceppe aurait fait la course a la chefferie avec Miss Marois. S’il a aussi gentillement reculé, c’est qu’il sait que son heure viendra. Il a passé sa vie dans la cause pour un jour avoir les reines entre les mains, il n’aurait pas pris son trou aussi facilement s’il aurait été désespéré.
    Duceppe #1 de la souveraineté.
    Et puis pour l’histoire que j’m’excuse de mes analogies, je crois qu’on s’est mal compris. Mes analogie libérale référe au systeme économique dit libéral, et non au Parti Libéral, a qui dailleur, René Lévesque a claqué la porte pour formé son PROPRE parti. Et puis « mon héros » (est forte, mon héros moi c’Est Bret Hart et non Lévesque 🙂

    Yes Frakass la barak, pas piqué des vers …

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  7. Vallée, les sondages, c’est les sondages. Rappel toi les autres élections, pas celle du 26 mars mais l’autre d’avant, l’ADQ était supposé etres au pouvoir quelques semaines avant le vote, et finalement ils ont eu 5 sièges.

    Par contre, je dis pas qu’ils sont inutiles. Rappel toi quand le OUI était en avant, la belle passe-passe du gouvernement d’envoyez des milliers de personnes de partout au Canada nous dire « We love you Quebec »
    We love you we love you… Fuck You!

    si le non avait été a 55%, y’aurais probablement rien reçu…

    La différence entre toi et moi, c’est quand on écoute « Point de rupture », moi j’ai les larmes aux yeux et mon désir de souveraineté monte, et toi, tu as les larmes aux yeux et ton désir de Fédéralisme se stabilise..

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  8. Bélisle a dit : de croire Duceppe pour battu, passé date, s’est preuve que tes opinions valent celle de tout les petits votants. S’il (Duceppe) avait peur que son heure ne revienne pas au PQ, Duceppe aurait fait la course a la chefferie avec Miss Marois. S’il a aussi gentillement reculé, c’est qu’il sait que son heure viendra.

    Vallée répond : Il a reculé parce qu’il n’avait pas assez d’appuis au PQ. Il avait peur de perdre contre Marois.

    Pis de dire que mon opinion vaut autant que celles des «petits votants», ça démontre un peu de mépris pour ceux qui ne pensent pas comme toi. Désolé, je ne connais pas ça moi la politique. Je ne suis pas souverainiste.

    Tiblanc a dit : Vallée, les sondages, c’est les sondages. Rappel toi les autres élections, pas celle du 26 mars mais l’autre d’avant, l’ADQ était supposé etres au pouvoir quelques semaines avant le vote, et finalement ils ont eu 5 sièges.

    Vallée répond : Le sondage qui mettait en avance les adéquistes a été réalisé au mois de septembre 2002. Au début de la campagne électorale, c’était les péquistes qui étaient en avance dans les sondages. Pour leur part, les libéraux ont pris les devants dans l’opinion publique après le débat télévisé.

    Tiblanc a dit : Rappel toi quand le OUI était en avant, la belle passe-passe du gouvernement d’envoyez des milliers de personnes de partout au Canada nous dire “We love you Quebec”
    We love you we love you… Fuck You!

    Vallée répond: Le love-in d’octobre 95 a eu l’effet contraire. Il a poussé des Québécois qui s’apprêtaient à voter NON à changer de camp. Cette ingérance du fédéral les a consternés.

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  9. Sans blagues ?… C’est vrai ça que Pauline va reprendre les votes que les dumontistes lui ont emprunté le 26 mars ?
    Ah bon !

    Et… le PQ comme une entreprise en reconstruction ???…
    Mauvais terme, on dit, le PQ comme un syndicat. D’ailleurs, le parrain Henri Massé veille toujours sur son parti et ses politiciens.
    sp

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  10. Dsl vallé pour mes comments. jme sent comme Kovalev a l’endroit de carbono 🙂
    mais té wrong pareil. Crime d’la facon que tu parle tout le monde a le droit a son opinion comme on a le droit d’aimé ou de pas aimé les radis.
    La politique, c’est pas gastronomique, c’est pas non plus d’la musique ou tout le monde peut etre inspirer par un beat différent. Cé normal que tlm aie sa toune qui fait en sorte qu’automatiquement tu te leve et tu prend par a la DANCE…. la politique cé pas sa. On a transposé l’adage: »tout les gouts sont dans la nature » pour que le monde aie chacun leur raison de s’éfoueré et renoncé a la vérité p-e plus difficile, plus risqué mais foutrement autentik. La musique c’Est ce qui te fait levé. La politique s’est ce qui te fais téffoueré.

    Alors cé pas toute les opinions sont dans la nature en politique. Y en a une vérité. Y a différente proposition d’y parvenir proposé par différent citoyens priorisant des moyens diverse.

    Mais de dire que té fédéraliste, ?
    Nomme moi un argument, puis j’me couche le 23 au soir puis je sors avec toi le 1juillet. Comme un vrai Elvis Gratton

    dsl jme sent encore moins sympatique, mais avant de me traité de anti liberté d’opinion, pensez y comme il faut, quitte a admettre que vous étié p-e wrong mais aussitot dit vous ne l’ête plus

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  11. Bélisle : Ç’était juste un moyen pour te dire que je connais ça la politique et que je n’accepterai pas de me faire traiter de la sorte , alors que je suis peut-être dans le 2% de la population qui connait vraiment ça!

    Pour ton information, je connais ça autant que le hockey… (demande à nos amis communs pour te rassurer) et comme je te battais tout le temps au jeu sur les questions de hockey… j’ai besoin de te faire un dessin?

    Pour ce qui est des arguments qui m’amènent à être fédéraliste, tu as juste à relire mes commentaires à propos de ton fameux texte «vapeur de PET». Ils sont tous là. Sinon, vient te mouiller sur le forum de discussion.

    Sans rancune Bélisle… je trouve juste que tu m’attaques un peu fort. Me traiter comme un average Joe, alors que je fais parti du peu de québécois ayant un diplôme de maîtrise (avec mémoire de surcroit). Tu es QUI pour me faire la leçon?

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  12. Couronner !?!?!?!?!?

    La royauté a été depuis longtemps abolie ici et nos ancêtres l’ont combattue de toutes leurs forces.

    Être fiers qu’un chef québécois ait été « couronné » est d’une insondable débilité pour un démocrate.

    Seule l’élection fait le chef. Le reste c’est de la bullshit.

    Le PQ n’a jamais eu l’intention de séparer le Québec du Canada.

    Ce Parti de ti’vieux couche avec les grandes Corporations comme tous les Bush, Blair, Berlusconi de cette terre.

    Pour ceux qui pensent que la démocratie peut encore vivre, écoutez sur YouTube Ron PAUL, candidat à la présidence américaine.

    Voilà le genre d’homme d’action de gros bon sens que les Amériques dont le Québec fait partie ont besoin. Merci

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  13. « Le PQ n’a jamais eu l’intention de séparer le Québec du Canada.(décembre)»

    Ah bon !… Curieux, on ne m’a jamais dit ça auparavant. Depuis quand ?…
    sp

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  14. Merci, ce texte m’a gonflé à bloc, et c’est le cas de le dire!

    J’ai eu des prises de bec dernièrement sur le blogue « Un homme en colère » sur la question linguistique et la souveraineté et j’aurais bien aimé lire ce texte pour me donner encore plus de coeur au ventre. Bah, j’ai fait mon possible.

    Bonne journée!

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  15. @ Serge,
    Le PQ a eu, à partir de l’élection de Lévesque la capacité de faire le référendum sur une question directe genre, « Québécois voulez-vous faire l’indépendance politique maintenant. »

    Mais lorsque Lévesque fut élu, c’est quand les anglais ont voté PQ en réaction contre Bourassa et sa loi sur la langue française et les immigrants italiens, grecs et autres et non parce que le monde aimait Lévesque et voulait se séparer du Canada !

    Mais le PQ n’a jamais été clair, n’a jamais saisi l’opportunité. Il savait que la population aurait peur, ne le suivrait pas. Que la défaite était certaine avec une question claire, aussi claire que l’indépendance est claire.

    Pourquoi chercher l’trouble comme dirait l’autre ?

    Le discours du PQ fut et demeure flou, vaseux, hypocrite finalement.

    C’est parce qu’il ne veut ni ne peut se soustraire aux vrais dirigeants qui ne sont pas les politiciens ni le Parti au pouvoir ni le peuple qui l’a porter au pouvoir mais bien les financiers du Parti et ceux du budget de la Province. Eux se contrecrisse de notre élan patriotique et veulent les intérêts de leur prêts. Donc, pas d’trouble.

    Dumont vient de le prouver très clairement alors qu’il a choisi le financier avant sa responsabilité de loyauté comme chef envers les membres de son Parti.
    Faut l’faire. Dire non au débat sur le budget québécois en première dans tous les médias pour aller se faire courtiser par des juifs !

    Aucun des financiers important du PQ n’est séparatiste. Et ceux de Dumont non plus !

    Voilà pourquoi, en partie, je pense que le PQ est un nid d’oportunistes qui font du cash avec une belle mission en parole alors qu’ils se savent totalement incapables de la compléter dans l’action.

    Le Bloc c’est pareil. Même rêve machiavélique présenté comme une issue pour les québécois naïfs.

    Comment un Parti de loosers condamné à la défaite élection après élection peut-il affirmer qu’il défend bien les intérêts du Québec et comment se fait-il que des adultes puissent croire dans une telle hérésie ?
    Grâce à cette inconscience, nous sommes responsables de nos malheurs finalement.

    Quelle farce que de voter pour des éternels perdants. Tout le monde sait très bien que le nerf de la guerre c’est l’argent, que seul le pouvoir peut obtenir !

    Enfin, dans notre démocratie à gogo pour gagas, c’est comme ça qu’ça marche ! Salut.

    p.s. Connaissez-vous Ron PAUL ? Aller voir sur YouTube le discours de cet homme qui veut devenir Président des USA.
    Franchement, c’est un homme de cette trempe dont toutes les Amériques ont besoin.
    Un vrai démocrate, un homme de paix, un homme qui sait commer redonner un peu de pouvoir aux citoyens écoeurés de se faire plumer. Malheureusement il faut 100$USD millions minimum aux states pour être élu !

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  16. Yo vallé
    J’vais faire mes devoirs et aller voir ton reply sur mon fameux texte noséabond, pour ensuite de préparé une réponse.
    Pis a por de tsa, tu prend la forme d’un vrai fédéraliste en comparant tes connaissances en hockey pis la politique… cé deux champs de connaissance completement différent. Comment on devient craque, winner, en matiere de hockey: en apprenant par coeur les détailles en chiffre du plus grand nombre de joueur possible… quand on se les remémore, ca pratique.
    Et maintenant comment on devien craque, avant-gardiste, en politique? En se démarquant par notre facilité a lire la guerre entre les 5 pouvoir de la démocratie supposément équilibré. S’t’en lisant le publique cé en choisissant des mots plutot que d’autre, cé par-exemple, choisir un camp qui se bat pour gagné, plutot que défendre un camp qui personnifie le proverbe: la fin justifie les moyens.

    J’pense j’ai été civilisé cet fois 🙂

    Vallé samedi té le bienvenu pour notre rendez-vous, notre religion, té le bienvenu dans mon royaume si tu veux écouté la sage parole de Trevor Timmins. Parles-en a tiblan puis appelé moi.

    Répondre
  17. Bon! Je reconnais le bon vieux Bélisle. J’aime mieux ça comme ça! Et je suis bien content que tu m’invites à aller voir le repêchage de hockey chez vous. Je vais penser à ça.

    ciao!

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  18. La fameuse question référendaire… quoi en penser ?

    Comme vous le savez peut-être déjà, en plus de mon intérêt pour les affaires, je suis également un passionné d’économie et de politique. À l’approche des élections et devant la possibilité qu’un gouvernement péquiste majoritaire en ressorte, plusieurs aspects m’inquiètent. Laissez-moi partager avec vous mon point de vue sur les enjeux principaux de la campagne en espérant faire évoluer le débat et faire réfléchir.

    J’aborderai donc différents thèmes qui me sont chers, soit l’économie, l’identité nationale et l’éducation. Commençons tout de suite avec le point le plus alarmant de la campagne actuelle: la question référendaire.

    Je crois qu’en 2014, le concept de souveraineté est dépassé. Le fédéralisme est le modèle de prédilection pour une société florissante. Il permet de répondre à nos objectifs nationaux et régionaux tout en assurant la coexistence pacifique entre les différents groupes ethniques.

    La souveraineté, un gouffre sans fin

    L’argument principal de la souveraineté est le désir du peuple québécois de prendre sa destinée en mains. Cet argument peut être débattu : en regardant les plus récents sondages, même Montréal, cœur économique du Québec, refuse de se séparer du Canada.

    Si le projet de la souveraineté se réalise, le Québec n’aura d’autre choix que de reconnaître les droits des autres minorités présentes sur son territoire. Ces groupes n’auraient-ils pas logiquement le même droit que la minorité francophone du Canada de se séparer ?

    Les deux tiers du territoire québécois riches en ressources naturelles sont habités par les populations Cris et Inuit qui y résidaient déjà bien avant les peuples Français et Britanniques. Si un peuple pouvait à juste titre réclamer son indépendance, ce serait certainement ces derniers. Alors pourquoi sont-ils si farouchement contre l’indépendance du Québec? Ils craignent pour leurs droits constitutionnels… et avec raison ! Les lois du Parti Québécois démontrent clairement une tendance à diviser les citoyens et à s’en prendre aux droits des minorités. Le chauvinisme ethnique représente des risques énormes pour n’importe quelle société, et il est de notre devoir en tant que peuple de se demander s’il s’agit là du chemin que nous voulons suivre.

    L’argument économique

    Si le Québec se sépare, il est très peu probable que le Québec cède au Canada les territoires riches en ressources naturelles qu’occupent actuellement les Cris et les Inuits. Il s’agit là d’un manque de justice dans le raisonnement souverainiste. Le Québec peut se séparer du Canada, mais les autochtones ne peuvent pas se séparer du Québec? Ils occupent pourtant ce territoire depuis bien plus longtemps!

    De plus, un Québec souverain deviendrait du jour au lendemain un pays insolvable. La dette du Québec est la plus imposante de toutes les provinces canadiennes en s’élevant à plus de 264 milliards de dollars. En calquant la méthode de calcul de l’Organisme de Coopération et de Développement Économique (OCDE), la dette publique d’un Québec souverain correspondrait à 94% de son produit intérieur brut (PIB), le classant ainsi au 5e rang des pays industrialisés les plus endettés avec la Grèce et l’Islande. De plus, les coûts d’emprunt du Québec augmenteraient de façon dramatique avec la chute de la cote de crédit du Québec rendant ainsi la gestion de cette dette encore plus difficile. Rajoutez à cela un gouffre grandissant de 9 milliards par année en transfert de péréquation et nous avons une nation pauvre avec de la difficulté à rayonner mondialement. Notre chère province frapperait un mur et le réveil serait brutal.

    L’argument de la culture

    Bien que les Britanniques aient remporté la bataille des plaines d’Abraham le 13 septembre 1759, les francophones du Québec ont su rayonner et préserver leur langue et leur culture pendant plus de 250 ans à l’intérieur de la fédération canadienne sans même avoir de loi 101 la majorité du temps! Si l’objectif réel est la sauvegarde de la langue française, pourquoi le Québec ne tenterait-il pas plutôt d’entretenir des liens politiques et culturels avec les francophones hors Québec? Dans le reste du Canada, en 2011, le nombre de personnes ayant déclaré le français comme langue maternelle était d’environ 1 067 000 et le chiffre augmente constamment. Cela représente environ 15% des francophones du Québec que nous serions prêts à abandonner. N’y a-t-il pas ici un manque de cohérence?

    Des gens des quatre coins du monde choisissent le Canada comme terre d’accueil. C’est un pays qui gagne à être connu et où il fait bon vivre. C’est notre devoir en tant que Québécois, mais également en tant que Canadiens de réclamer haut et fort notre unicité et de tout faire pour la préserver…

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  19. La souveraineté : 7 BONNES raisons de rester dans le CANADA

    1. Un Québec souverain deviendrait du jour au lendemain un pays insolvable. Pourquoi ? Parce que la dette du Québec est la plus importante de toutes les provinces canadiennes et en cas de souveraineté, celle-ci correspondrait à 94% de son produit intérieur brut (PIB), classant ainsi le Québec au 5e rang des pays industrialisés les plus endettés avec la Grèce et l’Islande. De plus, les coûts d’emprunt du Québec augmenteraient de façon dramatique avec la chute de la cote de crédit du Québec rendant ainsi la gestion de cette dette encore plus difficile. Ajoutez à cela un gouffre grandissant de 9 milliards par année en transfert de péréquation et nous avons une nation pauvre avec de la difficulté à rayonner mondialement.
    2. Un Québec sans son Canada représente d’importants défis! Même souverain, les échanges commerciaux avec le reste du Canada demeure inévitables. Serait alors maintenue une situation de dépendance inévitable, allant à l’encontre de la volonté première de souveraineté absolue.
    3. D’un point de vue international, là encore les complications seraient importantes. Le Québec ne pourrait se prévaloir que de très peu de poids politique face aux du Canada, de tels échanges ne pourraient se faire que dans le cadre d’un déséquilibre économique absolu.
    4. Dans le même ordre d’idées, un Québec souverain ne serait pas nécessairement reconnu immédiatement. Effectivement, c’est ce que nous confirme l’administration Clinton, au pouvoir lors du dernier référendum en 1995, dans un article publié récemment dans la Presse : (insérer lien) (http://www.lapresse.ca/actualites/politique/politique-quebecoise/201403/14/01-4747886-washington-naurait-pas-reconnu-immediatement-un-quebec-independant-en-1995.php)
    5. Le coût d’un référendum est énorme. Le coût d’un référendum inutile est encore plus élevé.
    6. Un référendum gagné par 51 % aura comme effet de diviser la province, ou devrais-je dire, le pays. Construire un nouveau pays avec 49 % de la population en état de mécontentement présente des enjeux sérieux à considérer.
    7. La protection de la langue française ne sera pas plus facile. L’anglais est omniprésent partout dans le monde. Il y a des anglophones au Québec. Et en Ontario. Et partout aux États-Unis…une réalité qui n’est pas prête à disparaître!

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  20. La situation de l’emploi au Québec
    Au moment d’écrire cet article en Mars 2014, le Québec fait mauvaise figure au niveau de l’emploi. Je ne suis pas une économiste ou une politicienne, je suis une travailleuse qui se pose des questions sur l’économie et l’élection provinciale 2014 au Québec. Je vais essayer de départir les différentes statistiques que j’ai trouvées sur internet et le programme des différents partis politiques. Selon moi, le Parti Québécois et sa chef, Pauline Marois, n’ont pas fait de miracle au niveau de l’emploi depuis 2 ans.
    Selon l’institut de la statistique du Québec le taux de chômage a diminué de 0,2% en 2013 par rapport à 2012. Ce chiffre a besoin d’une bonne analyse pour comprendre si le Québec est en bonne situation économique ou pas. En fait, de comparer année après année est une très mauvaise comparaison. Il faut regarder l’évolution de mois en mois.
    Selon Statistique Canada, le Québec a un taux de chômage supérieur à la moyenne canadienne. Celui du Canada pour Février 2014 est évalué à 7,0% et celui du Québec est à 7,8%. Le taux de chômage est en hausse de 0,3% par rapport à Janvier 2014 alors qu’il était de 7,5%.
    Au chapitre de la création d’emploi le Québec compte pour un emploi sur cinq des nouveaux emplois canadiens. La population du Québec compte pour 23,25% de la population totale du Canada. Il y a un manque à gagner par rapport à la création d’emploi au Québec. Plusieurs secteurs comme la transformation primaire, la foresterie et les mines sont en décroissance au Québec malgré une forte demande mondiale.
    Selon le Parti Québécois, l’emploi est leur obsession. Cependant, selon leur site internet : » Le Parti Québécois n’a présentement pas de postes à combler. ». Plus sérieusement, la feuille de route du gouvernement Marois n’est pas reluisant en matière de création d’emplois. Cependant ils promettent de créé plus 115 000 emplois en 3 ans.
    Le parti libéral du Québec prévoit relancer le Plan Nord et stimuler l’économie avec une création d’emplois bien rémunérés et de qualité dans les régions du Québec. Philippe Couillard prévoit créer 250 000 emplois pour le Québec. Rappelons que le gouvernement de Jean Charest avait ramené le Québec au même niveau que l’Ontario au niveau du chômage et avait créé 400 000 emplois.
    Le parti Québec Solidaire au lieu de promettre de créer de nouveaux emplois pour le Québec, promette de garantir un revenu minimum de 12,500$ par personne. Bravo! Plus d’assistés sociaux en vue.
    Selon moi, il faut faire confiance au Parti Libéral du Québec(PLQ) pour créer des emplois au Québec et supporter les entreprises québécoises dans une économie changeante.

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