Les masques de gardiens de but dans la Ligue nationale de hockey (LNH) ont souvent été utilisés pour exprimer la personnalité des joueurs, leurs superstitions ou simplement pour intimider les adversaires. Voici 10 des masques les plus effrayants de l’histoire de la LNH !

1. Glen « Chico » Resch – Islanders de New York

Période avec les Islanders: 1973-1981

Glen Resch, surnommé « Chico », a été un gardien de but clé pour les Islanders de New York, contribuant à leur première victoire en Coupe Stanley en 1980. Son masque est censé représenter le Rhode Island mais l’image rappelle plutôt une éclaboussure de sang frais !

2. Jaroslav Halak – Canadiens de Montréal

Période avec les Canadiens: 2006-2010

Jaroslav Halak a marqué l’histoire des Canadiens de Montréal en 2010 en établissant un record de la LNH avec 53 arrêts dans un match de séries éliminatoires contre les Capitals de Washington. Son masque, orné d’une tête de démon sur le front est assez intimidant, mais le portrait du légendaire Patrick Roy sur le côté l’est peut-être davantage pour les attaquants adverses !

3. Jason Bacashihua – Blues de St. Louis

Période avec les Blues: 2005-2007

Bien que Jason Bacashihua n’ait joué que deux saisons avec les Blues de St. Louis, il s’est distingué par son masque à l’image des films Friday the 13 dont le célèbre tueur au masque de goaler, Jason Voorhees, porte le même prénom que lui.

4. Fred Brathwaite – Blues de St. Louis

Période avec les Blues: 2001-2003

Fred Brathwaite a eu une carrière de neuf saisons dans la LNH, jouant notamment pour les Blues de St. Louis. Son masque, à l’effigie de Freddy Krueger fait référence à son prénom mais il montre aussi qu’il ne vaut mieux pas le prendre à la légère.

5. Michel Dion – Penguins de Pittsburgh

Période avec les Penguins: 1980-1985

Michel Dion a été le gardien de but des Penguins de Pittsburgh au début des années 1980. Son masque qui rappelle celui des médecins de peste du moyen-âge inspire la terreur en déshumanisant la forme de son visage. C’est l’un des masques les plus effrayants de cette liste !

Dion avait commencé sa carrière avec les Nordiques de Québec en 1979 et là aussi, il faisait déjà peur !

6. Gerry Cheevers – Bruins de Boston

Période avec les Bruins: 1965-1980

Gerry Cheevers est célèbre pour son masque orné de motifs de points de suture, symbolisant les blessures qu’il aurait pu subir sans protection. Ce design, à la fois effrayant et significatif, est devenu indissociable de sa carrière.

7. Gary Bromley – Canucks de Vancouver

Période avec les Canucks: 1978-1981

Gary Bromley a porté un masque peint pour ressembler à un crâne de mort-vivant prêt à dévorer l’âme des joueurs adverses ! Ce design audacieux a marqué les esprits et a inspiré d’autres gardiens dans l’histoire de la LNH.

8. Warren Skorodenski – Blackhawks de Chicago

Période avec les Blackhawks: 1981-1984

Warren Skorodenski a aussi porté un masque au design de tête de mort, lui donnant une image de gardien redoutable. Bien que sa carrière dans la LNH ait été relativement courte, son masque a marqué l’imaginaire des fans.

9. Roman Turek – Stars de Dallas / Flames de Calgary

Période avec les Stars: 1996-1998

Période avec les Flames: 1998-2001

Roman Turek a porté un masque au design inspiré de la mascotte du groupe de métal légendaire Iron Maiden. Le fameux mort-vivant « Eddie » semble avoir avalé le gardien dont le visage apparaît dans la gueule béante du zombie le plus célèbre du metal !

10. Jacques Plante – Canadiens de Montréal

Période avec les Canadiens: 1953-1963

Jacques Plante est le premier gardien à avoir porté un masque de protection de façon régulière après une blessure, révolutionnant ainsi la position de gardien de but. Son masque, bien que simple comparé à ceux des générations suivantes, reste l’un des plus épeurant à contempler. Rien ne saurait battre l’original !

Lorsque Jacques Plante a porté son premier masque, son entraîneur hésitait à le laisser jouer, de peur que sa vue ne soit obstruée. Jacques a prouvé que garder les buts avec un masque n’était pas seulement possible, mais nécessaire !